Journal de lecture #117 – Anaïs Nin : sur la mer des mensonges

Hello You !

Il me semble vous avoir déjà parlé quelque part de mon envie de lire plus de bds / mangas / romans graphiques maintenant que je vais avoir de la place pour les ranger. Je n’ai pas attendu d’avoir une nouvelle bibliothèque pour satisfaire cette envie !

Anaïs Nin est une autrice que je ne connais que de nom. Je n’ai jamais lu aucune de ses oeuvres et je ne savais rien de sa vie. Mais en voyant tourner cette bd sur le net, celle-ci m’a intriguée. Le titre, le style graphique, le fait que ce soit sur un personnage réel, tout était fait pour m’attirer.

Au final, difficile de poser un avis dessus. Les dessins expriment les émotions d’Anaïs Nin avec une très grande justesse. C’est beau et mystique, un régal pour les yeux. La forme marche parfaitement, quand le fond est profondément déroutant.
Si on ne connaît rien à la vie de cette autrice, on peut facilement être surpris voir choqué. On découvre une personnalité complexe et avant-gardiste, à la fois fascinante et révoltante. On l’admire d’être aussi libérée et en même temps cette liberté dérange car elle est parfois trop poussée, trop exagérée. Anaïs Nin n’avait pas de limite, et c’est là qu’elle perturbe le lecteur.

L’histoire d’Anaïs Nin m’a touchée et révoltée. Impossible pour moi de donner une note à ce récit particulier, ni de dire si j’ai aimé ou non. Ce qui est sûr, c’est que cette histoire provoque quelque chose, et qu’on ne peut en ressortir sans avoir envie d’en savoir plus. J’ai désormais très envie de lire ses journaux, et de comprendre un peu plus qui était cette femme.

petit exemple de la beauté des planches

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